Press
“Theuns’ fabulous flute playing – whether it being the precise definition of the semiquaver runs, or the shaping of sustained notes above the strings, he is utterly the master of his instrument, unphased by any difficulty. Les Buffardins (single strings with double bass and harpsichord) are worthy companions – perfectly balanced, they accompany with great sensitivity and relish the possibilities the ritornelli give them to add drama to the whole.” (Brian Clark Early Music July1, 2015)
“Theuns voller runder Ton besticht durch Wärme und Schönheit in allen Registern.” (FonoForum, November 2015)
Frank Theuns versteht es wunderbar, die sonderbaren Klangeigenschaften seines Instruments zu einem reizvollen Vorteil dieser Einspielung zu machen. Mit atemberaubend stupender Technik beherrscht er das Holzinstrument ohne jegliches Nebengeräusch, selbst in den halsbrecherischsten Läufen und Verzierungen. Der warme, weiche Ton der Flöte mischt sich gut mit der Streichergruppe, ohne dabei seine Rolle als Soloinstrument zu verlieren. (Klassik.com 2012)
Frank Theuns bringt diese Klangvielfalt auf seiner Traversflöte hervorragend zum Ausdruck. Sein Ton nimmt gefangen, hält die Spannung und ist überaus differenziert: mal klagend-sehnsuchtsvoll, mal dramatisch, dann wieder heiter-virtuos. Die sechs begleitenden Musiker von Les Buffardins sorgen für eine frische und mitreissende Begleitung des Soloinstruments. (Kulturradio 2012)
…Frank Theuns se distingue par la limpidité de sa technique, la beauté de ses sonorités et le raffinement de son interprétation…..il est avant tout un restaurateur de sons …( Muse Baroque 2012)
Franck Theuns ne force pas l’italianisme par son jeu, conservant cette délicatesse de ton, un peu voilée, douce, mélancolique, et…veloutée (oh combien!) (Classica mars 2006)
La flûte traversière baroque comme on ne l’a jamais entendue ! L’ensemble produit un ravissement quasi hypnotique. (Classica décembre 2005)
Franck Theuns possède un irrésistible pouvoir de séduction; est-ce que cela vient du léger filet d’air qui colore joliment le timbre de la flûte, l’attendrit, ou est-ce sa manière de jouer la délicatesse (jusq’au balbutiement) des attaques, de couler avec ravissement les passages ornés d’un double, d’éffleurer les coulés de tierces, d’oser les sanglots, d’esquisser les flattements?
Avec la complicité des Buffardins (remarquons la viole parfaite de Martin Bauer), Franck Theuns poursuit sa quête d’intimité chez les compositeurs français. (Classica novembre 2005)
Franck Theuns défend cette littérature splendide avec tout le raffinement et l’intelligence souhaitable. formidablement entouré par Martin Bauer à la viole et le toujours impeccable Robert Kohnen au clavecin, le flûtiste donne ici une belle leçon de style, secondé par l’excellent Marc Hantaï…(Diapason septembre 2005)
Un son particulier, chaud, voilé dans le médium et l’aigu, mais avec un grave d’airain.
Avec une palette expressive plus large et extravertie que son maître Kuijken, un art consommé de l’ornamentation (spontanée et volubile), il touche pourtant plus qu’il impressione, et s’impose avec une tranquille évidence en tête de la discographie. (Classica avril 2004)
Comme son maître, Theuns possède la technique infaillible qui modèle à plaisir un son où la subtilité des enflés et des diminués s’accorde à une articulation souple, franche, mais sans dureté. Le son est généreux et distingué, légèrement rauque, à la fois limpide et délicatement voilé, quasiment palpable.Il réalise la délicate alchimie de l’éloquence française et des élans sanguins de la sonate italienne . Sobres, efficaces, inventifs, Martin Bauer (qui improvise çà et là une discrète contrepartie de viole) et Ewald Demeyere lui offrent un écrin satiné. (Diapason février 2004)